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Les articles Hippocampes






Le Maintien

Le 10 avril 2016, par Techrecif -
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La taille et la couleur des chevaux de mer varient en fonction des nombreuses espèces existantes qui semblent se dénombrer à environ 60 pour l’hippocampus ; de 2,5 cm de longueur pour le nain-pygmée du Golfe, à 35 cm pour l’hippocampe géant du Pacifique. En Europe, ils atteignent à peu près 15 cm au maximum. Ils sont de la famille des syngnathidae qui comprend environ 220 espèces. Leur durée de vie est estimée entre 2 et 4 ans. En milieu marin, ils vivent en principe entre la surface et les fonds peu profonds, proches des algues et des herbiers.

N’achetez que les hippocampes proposés dans les commerces aquariophiles ou chez des éleveurs privés qui sont déjà habitués en aquarium et à la nourriture palliative (par exemple hippocampus-hippocampus, erectus, guttulatus, histrix, kuda, reidi), Généralement d’autres espèces refusent de s’alimenter en captivité de nourriture palliative ou ne s’adaptent tout simplement pas, ce qui nécessiterait d’élever ou pouvoir se procurer de la nourriture vivante en tout point identique à celle qu’ils trouvent dans leur environnement naturel.

Lorsque vous achetez des hippocampes dans le commerce, veillez à ce qu’ils soient bien dodus, (ventre non creusé, signe de maladie ou de sous-nutrition), qu’on vous prouve qu’ils se nourrissent bien et surtout avec quelle alimentation ils sont habitués. Observez leur comportement qui doit être totalement normal, qu’il n’y ait aucune anomalie sur le corps,les yeux etc. (voir chapitre des maladies). N’achetez pas un nouvel arrivant, attendez toujours un minimun de 3 semaines. Par contre, si vous voyez un couple ne les séparez pas achetez les deux ils vous seront reconnaissants.

Le squelette constitué d’une colonne vertébrale n’est pas très différent de celui des autres poissons, mis à part quelques particularités propres, donnant à l’hippocampe sa stature et posture unique. Il est recouvert par des plaques dermiques qui le protègent et forment une cuirasse qui se substitue aux écailles des poissons. L’hippocampe possède deux nageoires branchiales avec lesquelles il se dirige, 1 caudale pour se propulser et une toute petite vers l’anus contribuant à l’équilibre. Sa queue qui en temps normal sert à se tenir, est utilisée comme balancier en cas de nage à l’envers. Il n’a qu’un rein et est dépourvu d’estomac. Le mâle a une poche incubatrice externe, visible dès l’âge de 5 à 6 mois pour l’oeil exercé, permettant entre autre la reconnaissance des deux sexes. L’aspect de son thorax est lisse, alors que celui de sa compagne est en dents de scie. Leur tête est positionnée en angle droit par rapport au corps et se termine par un museau tubulaire sans dents permettant d’aspirer les proies. La longueur et l’ouverture de cet organe est très variable selon le genre. Plus il est petit, plus grande est la difficulté de préhension de nourriture, surtout dans nos aquariums. Muni d’une vision très développée, il est capable d’apercevoir le minuscule et peut mouvoir ses deux yeux de manière totalement indépendante, l’un à droite, l’autre en bas par exemple. Cette faculté précieuse lui permet de repérer simultanément un danger éventuel, de faire et/ou d’observer autre chose. L’hippocampe est doté d’une ouïe développée, son odorat est également bon. Il communique avec ses congénères en émettant des sons imperceptibles à l’oreille humaine. Les vibrations ainsi provoquées peuvent, par contre, être ressenties lorsque l’on tient son corps entre deux doigts (ce genre de manipulations est à exclure sauf en cas de nécessité impérative, soit lorsqu’il faut sortir un blessé de l’eau pour désinfection) et encore mieux vaut laisser la partie respiratoire dans l’eau (tête). Il a également la possibilité d’adapter, voire parfois de modifier sa couleur en fonction de l’environnement où il évolue et/ou au gré de son humeur, ce afin de se protéger des prédateurs, selon les uns et selon d’autres, pour tromper les proies convoitées. Ce qui est certain est, qu’en aquarium, il a tendance à s’assombrir en cas de stress ou lorsqu’il est incommodé, alors que satisfait ou pendant la parade d’accouplement, il s’éclaircit moyennement ou fortement.

Alimentation

Voilà bien une difficulté pour l’aquariophile qui ne dispose que de ce qui est présent dans le commerce ou doit élever de la nourriture vivante lui-même. Les chevaux de mer se nourrissent principalement de plancton et de petits crustacés dans leur contexte habituel.

Providence pour nous, en captivité, ils acceptent une nourriture palliative vivante ou congelée (portions à dégeler avant distribution), dont la principale est les artémias salinas. Les mysis et les cyclops sont en principe également à leur goût. Quant aux krills et aux daphnies, ils ne les mangent que si la largeur de leur bouche le leur permet, mais ne sont apparemment pas aussi attrayants. Les micro-vers seront peut être tolérés par certains. Lorsqu’un nouveau pensionnaire est acquis, il y a lieu de l’habituer progressivement à ce mode d’alimentation, ce qui d’ailleurs devrait déjà être tenté par le magasin. La fréquence de distribution de nourriture est de 2 fois par jour. Une vingtaine de proies par jour pour un seul individu semble suffire à le maintenir en forme. Bien entendu, s’il en reçoit plus, il ne s’en plaindra pas, mais attention à la pollution. La même nourriture peut aussi être donnée vivante de temps en temps : apport supplémentaire en vitamines et il seront heureux.

Si vous n’êtes pas trop sensibles, il est possible de leur distribuer de temps à autre des crevettes "palaemonetes" vivantes, dont ils sucent uniquement le sang. Lors de la chasse, les hippocampes forment un cercle autour du crustacé et, avec une stratégie qui leur est propre, vont jusqu’à tuer l’animal avant de le vider. Vous pouvez aussi donner des bébés guppies.

En ce qui concerne les syngnathes à bandes = poissons aiguilles (doryrhamphus dactyliophorus par exemple) ils leur faut des oursins dans l’aquarium et des pierres vivantes. Ils s’alimentent difficlement de la nourriture palliative proposée. Souvent ils acceptent les artémias (de petites tailles ou nauplies), les cyclops ou autres copépodes et amphipodes. Combien de fois les nourrir ? Egalement 2 fois par jour.

Le moment des repas est attendu avec une grande impatience. Ils se regroupent devant la vitre de l’aquarium en se déplaçant de manière plus vive qu’à l’accoutumée. Rassasiés, le calme habituel reprend son cours. S’ils persistent à se comporter de la même manière après la distribution, la quantité donnée peut s’avérer insuffisante. Gardons tout de même à l’esprit qu’il s’agit d’animaux qui passent leur journée à manger dans leur contexte habituel et qu’il faut ne faut pas exagérer, nos bacs ne pouvant contenir qu’une quantité de déchets raisonnable. L’alimentation est un moment important dans le vie des hippocampes, stoppez les pompes pendant les repas.

Il est difficile de savoir combien de temps un hippocampe adulte peut se passer de manger et quelles peuvent en être les répercussions sur son organisme. Un délai de 2 à 3 jours semble raisonnable pour autant qu’il ait été correctement nourri préalablement et qu’il soit en bonne santé. MAIS JE LE DÉCONSEILLE VIVEMENT . Un hippocampe doit pouvoir manger régulièrement. Tout dépend aussi, s’il trouve des proies dans l’aquarium ou non et à quelle quantité. Au-delà de ce terme, un affaiblissement peut survenir avec les conséquences qui en découlent. De toute façon, il se portera nettement mieux et vous en sera reconnaissant s’il mange toujours à sa faim. Il faut garder en mémoire, qu’en mer, les hippocampes passent leurs journées à manger tout ce qui leur passent sous le "bec". Un hippocampe sous-alimenté est stressé et malheureux !

Durant les repas les adultes comme les bébés peuvent s’étouffer, il faut toujours les surveiller (voir chapitre l’élevage - alimentation).

Un pensionnaire nouvellement arrivé se montrera très craintif. Soyez donc patient, lorsqu’il aura repris confiance et qu’il vous connaîtra, il ira jusqu’à manger au bout de vos doigts.

Un autre point important est d’éviter toute carence en vitamines et oligo-éléments. Il est fortement suggéré d’ajouter régulièrement à l’eau du bac des solutions liquides destinées à cet effet (surtout en cas d’utilisation de charbon, d’un écumeur et/ou d’une lampe UV ou seulement en regard du manque de variété de nourriture).

Comportement & moeurs, la vie en Aquarium

Comme décrit dans ces pages, les hippocampes sont très fragiles et peureux en particulier lorsqu’ils arrivent dans un nouvel habitat. Ils ont tendance à vous considérer comme un danger potentiel et cherchent à se cacher, se fixent à un élément et n’en bougent plus. Cette situation peut perdurer de quelques heures à quelques jours. Les mâles sont de nature encore plus réservée et méfiante. Il faut malgré tout veiller qu’ils se nourrissent plus ou moins normalement et surtout les traiter avec douceur. La quarantaine est bien entendu de rigueur.

Une fois accoutumés, ils vont aller et venir sans trop se soucier du reste. Nageant à la verticale, ils s’approchent de vous dès qu’ils vous aperçoivent (notamment quand ils ont faim) et font preuve d’une grâce naturelle en enroulant leur queue et en effectuant ce que l’on pourrait comparer à une danse, moyen en autre de charmer l’observateur ou un partenaire sexuel. Ils semblent également sensibles à la voix humaine.

Tout au long de la journée, ils scrutent les fonds à la recherche de nourriture, flânent dans l’aquarium, s’entrelacent par la queue ou dorment. Un hippocampe a aussi la capacité de nager à l’envers, constaté plutôt chez le mâle, soit parce qu’il a des œufs dans sa poche (en trop grande quantité et/ou associé avec un peu d’air), soit par amusement (plutôt les alevins), ou encore pour mieux apercevoir les animalcules sur le sol tout en bougeant. Les femelles apprécient moins ce mode de déplacement. Toutefois, si l’individu concerné ne se remettait pas à l’endroit après quelques jours au plus, un problème tel qu’une maladie, pourrait peut être en être la cause.

De nature très calme et nonchalante, ils n’aiment guère les mélanges de population. Un bac destiné aux hippocampes doit de préférence ne comporter que des animaux de la même famille. Tout poisson, sauf une ou deux espèces, par exemple le pterapogon kauderni (très calme et vivant en petits bancs assez lâches) doit être évité, car trop turbulent et rapide, ce qui va non seulement stresser vos hôtes, mais provoquera en plus un problème d’alimentation. En effet, un poisson absorbe toute la nourriture de manière ultra rapide, alors que l’hippocampe prend tout son temps. Il ne supportera probablement pas ce style de concurrence. Certains invertébrés sont également déconseillés ou à insérer avec prudence, car ils peuvent capturer, blesser plus ou moins gravement et/ou déranger les hippocampes. Exemple : une crevette stenopus, en principe relativement inoffensive et même utile pour le déparasitage des poissons, a passé son temps à surveiller et à attaquer les habitants du bac et a été jusqu’à tuer mes syngnathes à bandes (doryrhamphus dactyliophorus) en tentant de les sectionner en deux.

Faits pour vivre en petits groupes, il semble bien que des affinités particulières se créent entre hippocampes mâles et femelles et/ou au sein du même sexe. Il faut donc observer et éviter, pour une raison ou une autre, de séparer deux ou plusieurs individus. Celui ou ceux qui restent peuvent en subir les conséquences par un stress considérable ou par un refus de s’alimenter. Tel est parfois le cas lors de la disparition accidentelle d’un des leurs.

Les nouveaux arrivants peuvent avoir de la peine à s’intégrer. Certains hippocampes très sociables, comme le veut leur nature, les acceptent sans réticences. D’autres ne le voient pas de cet oeil (les femelles plus spécialement, dû à la convoitise des faveurs des mâles, mais comme dans tout groupe, il peut y avoir des sujets de chaque sexe difficiles). Dans un tel cas, ils observent longuement les intrus en se dandinant de droite à gauche ou en tournant autour (de la même manière qu’ils observent une proie) et au moyen de leur museau donnent des coups à leurs futurs compagnons. Ils peuvent aussi faire semblant de les ignorer et furtivement, plus ou moins fréquemment, leur infliger le même traitement. Le seul moyen lors de conflits, est de séparer les attaqués des attaquants au sein du même aquarium, afin de les habituer progressivement les uns aux autres. En cas d’échec, renoncez à toute nouvelle introduction. Les alevins ayant grandi et séparés trop longtemps de leurs parents, devenus de parfaits inconnus, peuvent être soumis à la même règle. Il vaut donc mieux constituer la population en une fois, car chacun sera préoccupé par la reconnaissance du milieu et cherchera ses repères. Par contre, si un membre devait être séparé des autres pour peu de temps, le retour devrait se passer sans accroc. Quant aux jeunes hippocampes (jusqu’à environ 6 à 8 mois) habitués à vivre en groupe et notamment lorsqu’ils ont été élevés en captivité, ils accueillent en principe les nouveaux venus sans trop de réticence et sans agressivité

Certains soupçonnent les hippocampes d’attaquer voire de manger leurs petits à la naissance. Personnellement je n’ai jamais vu mes hôtes (200 hippocampes) s’attaquer aux alevins nouveau-nés, ni à ceux d’un couple voisin. Il est possible que cela se produise lorsque les adultes sont affamés, ou encore qu’un spécimen soit de nature par trop agressive. Dans ce dernier cas, il ne s’accordera probablement pas non plus avec ses congénères.

Bien que certaines personnes, même parmi les spécialistes, pensent ou constatent que les hippocampes ne se reproduisent que très difficilement en captivité et surtout que l’élevage se solde pas des échecs, je ne suis pas du même avis. S’il y absence totale de résultat, c’est seulement d’une part par méconnaissance, par manque de temps consacré, et/ou d’autre part que les nombreuses exigences ne sont pas remplies. Personnellement, je ne possède plus que des animaux issus de mon propre élevage et qui continuent eux-mêmes à s’accoupler.

Si vos pensionnaires se sentent parfaitement bien et à l’aise, vous n’aurez aucune peine a assister à de nombreux accouplements et naissances. Un hippocampe en forme est tout à fait disposé, comme les autres poissons, à perpétuer la vie. Bien sûr, je n’affirmerais pas qu’élever des petits soit chose aisée, bien au contraire, mais en comparaison de la maladie…

Reproduction - Accouplement, naissance - Accouplement

Un mâle ne se satisfait pas forcément d’une seule femelle. En effet, si cette dernière ne produit pas assez d’œufs, il peut solliciter une partenaire supplémentaire. Le cas le plus fréquent est celui ou la femelle a trop d’oeufs à transmettre. Elle cherche un 2ème porteur, d’où nécessité d’avoir un bon équilibre de la population par une plus grande présence de mâles que de femelles, cas elles peuvent épuiser leur partenaires en leur imposant une charge trop fréquente ou trop lourde.

Il m’a été donné de lire des articles qui avançaient que les mâles, trop épuisés par l’accouchement, mourraient presque toujours et ce de surcroît dans leur milieu naturel. Cette information est d’une grande inexactitude. Si tel devait être le cas, soit la 1ère règle mentionnée ci-avant n’est pas respectée, soit l’animal est malade ou diminué pour d’autres raisons, soit encore trop âgé.

Les hippocampes se reproduisent en principe à la fréquence de plus ou moins une fois par mois. Les saisons propices sont d’avril à octobre, mais peuvent se prolonger à l’année. Tout dépend du milieu de vie, eaux tempérées ou eaux tropicales. La maturité sexuelle est atteinte aux environs de 6 mois. Les premières pontes peuvent ne pas être viables, quoi que pas constaté. Elevés en captivité, ils n’auront de cesse de se multiplier. La parade d’accouplement des hippocampes dure plusieurs heures, pendant lesquelles, le mâle émet de petits grognements pour attirer la ou les femelles. Ils effectuent ensemble un rituel ressemblant à un ballet, s’entrelacent, nagent activement dans tous les sens, font des révérences à tout va. Au cours de cette cérémonie, d’une rare et grande élégance, le mâle va féconder les œufs produits par sa compagne. A plusieurs reprises il ouvre sa poche, en permanence enflée et presque translucide, en ayant des soubresauts, sans pour autant ralentir ou abandonner sa quête et courtiser sa bien-aimée.

Le moment venu, les partenaires vont se mettre quelques secondes ventre contre ventre. La femelle en profite pour insérer son tube de ponte dans la poche du mâle et transmet ses œufs. Cela étant, le mâle montre son contentement en frétillant quelques secondes et en se dandinant. Il portera les œufs à maturation et ensuite les alevins jusqu’au moment de leur donner naissance. Dès lors la poche du mâle, flasque jusque là, sera redondante et ferme, voire distendue (grande portée). Lorsqu’elle passera du stade de la rondeur, à celui de légères bosses, les petits complètement formés, ne tarderont plus à venir au monde. Avec une bonne lumière de profil, il est possible d’apercevoir en transparence, non seulement les oeufs, mais également les futurs hippocampes. Un mâle en bonne santé accouchera à la verticale, en principe épisodiquement dans la même journée. Il sera relativement stressé, se pliera en deux, ouvrira sa poche, poussera fort, jusqu’à ce qu’un ou plusieurs alevins soient expulsés tel un jet ; (un hippocampe malade accouche sur le fond et meurt souvent après la libération des petits) Ils semble que ces derniers soient protégés de la maladie. Dès la naissance, les parents ne s’occupent plus de leur progéniture.

Branle bas de combat. Deux ou 3 semaines après l’accouplement (selon les espèces), une à plusieurs dizaines d’alevins d’environ 10 à 15 mm arrivent. Les bébés hippocampes, sont copie conforme des adultes, en miniature, et sont tout de suite capables de se nourrir. Sortis de leur nid douillet, ils ont tendance à paniquer les premiers instants, se ressaisissent et s’accrochent à la première chose qu’ils trouvent. Les plus courageux se mettent immédiatement à nager de manière frénétique et maladroite .Les premiers jours et semaines, ils ne s’appliquent qu’à perfectionner leur technique de natation, à manger, à se chamailler ou à dormir.

Durant les 4 ou 5 premiers mois, ils ont la capacité de changer à plusieurs reprises de couleur, en passant par exemple du brun au blanc laiteux, au jaune et vice versa. La teinte définitive se fixera entre 3 – 5 mois et ressemblera, en principe, à quelques détails prêts, à celle des parents. Il se peut tout de même qu’un ou plusieurs alevins choisissent d’adopter un dérivé durable, sans doute pour les mêmes raisons qui poussent leurs aînés à ce style de modifications temporaires. Les différents changements se produisent en principe en une seule nuit.

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